Il existe une façon d’écrire qui permet d’être lu par tous. Une écriture pour tous ne plaît pas forcément à tous. Mais le lecteur avec a plus facilement envie de lire.
Plus le lecteur s’évade moins il a l’impression de suivre un chemin tout tracé, plus il pense pour lui. C’est comme cela qu’il aime l’auteur. Il devient indépendant tout en lisant.
Il faut enlever les fautes de sens, ces fautes qui montrent son imprécision ou sa volonté de cacher. Le lecteur ne sait rien de nous. Il veut tout savoir de son auteur.
En enlevant les fautes de sens et en étayant ses écrits on devient accessible. Il ne faut pas enlever le rythme des phrases mais laisser la poésie ou l’humour, ce qu’on a aimé. Il faut se méfier de ce qu’on n’aime pas car une peur peut empêcher de se libérer.
Il ne faut pas heurter celui qui lit. Il ne faut donc pas lui dire comment penser ni faire de généralités. Le lecteur aime être informé. Le lecteur adore l’objectivité, le sens, le suspense. L’objectivité n’est jamais complètement aboutie. La recherche de l’objectivité puis du sens est donc constante.
Il ne faut pas dire comment on se voit soi mais plutôt décrire une vie quotidienne pour rapprocher le lecteur de sa vie de tous les jours. Lorsqu’on parle du quotidien le lecteur retrouve des éléments de sa vie et retrouve l’envie de suivre. Il aime ensuite la nouveauté.
L’humour permet d’écrire pour tous. Peu de personnes rient quand elles lisent. Exagérer sa personnalité permet de trouver l’humour et la poésie.
Il faut connaître les atouts de l’écriture pour tous comme le suspense, la réalité des faits, les dialogues nombreux, la poésie, la beauté des mots, la surprise, sa technique, la précision informant le lecteur. Il ne faut surtout pas étayer sans ajouter du plus.
Mes notes
Écrire une histoire qui plaît à soi puis au lecteur...