Une phrase nominale c’est :
- Un mot central.
- Des phrases verbales autour ou un dialogue.
- Une métrique – Les syllabes.
Une phrase verbale c’est :
- Quelqu’un ou quelque chose – Le sujet.
- Une action – Un verbe.
- Une qualification, un objet – Le complément.
- Une métrique – Les syllabes.
Une phrase c’est peut-être :
- Une explication – « C’est.. »
- Une relation – « Oh, c’est bien ! »
- Une sensation – « J’aime... »
- Une musique – « Il pleut, il pleut bergère. »
- De l’humour – « Lire c’est délire. »
- Utile – « J’aime l’amour. »
- Du temps – « Vous perdez votre temps. »
Donner du sens à une phrase permet d’enrichir ses textes. Ainsi en l’étayant on recherche à trouver le rythme.
Pour que le lecteur comprenne plus facilement on utilise des phrases simples qui possèdent :
- Un sujet.
- Un verbe.
- Peut-être un complément.
Pour que la phrase devienne complexe on ajoute à la proposition principale plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases.
Avoir écrit des poèmes voire de la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s’enregistrer en lisant ses phrases, puis de s’écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur.
Une phrase complexe peut posséder :
- Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe.
- Une proposition subordonnée conjonctive d’objet, des paroles sans les guillemets introduites par « que ».
- Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe.
Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom.
Voici un exemple de proposition subordonnée relative :
J’aime celles qui adorent.
Utiliser un verbe en fin de phrase permet d’accentuer l’émotion sur la proposition subordonnée.
La même phrase plus courte :
J’aime les fans.
Une phrase courte est mieux comprise.
Voici un exemple de dialogue :
J’ai dit : « Je suis drôle. »
Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible puisque qu’elle retranscrit le dialogue donc elle permet de ressentir du mouvement.
Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive :
J’ai dit que j’étais amusant.
Dans une histoire utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu’on analyse ou explique.
Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle :
Je suis chez mon amie où je m’amuse.
Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase.
La même phase plus précise sans proposition subordonnée :
Je m’amuse chez mon amie avec ses jeux.
Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C’est pourquoi rechercher l’objectivité ou le sens permet de trouver les meilleures phrases.
Mes notes
Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.